Les clubs de football professionnel français souffrent d’un déficit de compétitivité important par rapport aux modèles économiques des clubs issus des quatre nations qui dominent le football européen : l’Angleterre, l’Allemagne, l’Espagne et l’Italie.
Bien que moins endettés qu’eux et bénéficiant d’une situation financière relativement saine, les clubs français sont fragilisés par la faiblesse de leurs actifs immobiliers (ils ne sont généralement pas propriétaires de leurs stades) et par la faible participation d’entreprises actionnaires à leur capital. De plus, les revenus globaux des clubs français sont largement inférieurs à ceux de leurs principaux concurrents et marqués par une forte dépendance à l’égard des droits télévisuels nationaux ; les autres recettes, tirées notamment des entrées au stade, de la publicité et du sponsoring, sont bien inférieures à celles de leurs homologues étrangers les mieux dotés.
Par ailleurs, le coût global des rémunérations des meilleurs joueurs est supérieur en France à celui des quatre pays cités, du fait de notre structure de prélèvements obligatoires. Grâce au dispositif du Droit à l’Image Collective (DIC), et aux récentes évolutions de la législation fiscale sur les revenus et sur le patrimoine, cet écart défavorable s’est réduit pour se limiter à environ 15 % pour une rémunération « moyenne » comparée aux systèmes sociaux et fiscaux de nos principaux concurrents.
Voici quelques données intéressantes tirées du rapport d’Eric Besson…
Le modèle économique du football français est moins compétitif que celui de ses principaux concurrents
Il est fragilisé par l’importance relative des droits télévisuels dans ses revenus et son faible dynamisme commercial.
Les droits télévisuels constituent 57 % de l’ensemble des revenus sur la saison 2006-2007.
Bien que moins endettés qu’eux et bénéficiant d’une situation financière relativement saine, les clubs français sont fragilisés par la faiblesse de leurs actifs immobiliers (ils ne sont généralement pas propriétaires de leurs stades) et par la faible participation d’entreprises actionnaires à leur capital. De plus, les revenus globaux des clubs français sont largement inférieurs à ceux de leurs principaux concurrents et marqués par une forte dépendance à l’égard des droits télévisuels nationaux ; les autres recettes, tirées notamment des entrées au stade, de la publicité et du sponsoring, sont bien inférieures à celles de leurs homologues étrangers les mieux dotés.
Par ailleurs, le coût global des rémunérations des meilleurs joueurs est supérieur en France à celui des quatre pays cités, du fait de notre structure de prélèvements obligatoires. Grâce au dispositif du Droit à l’Image Collective (DIC), et aux récentes évolutions de la législation fiscale sur les revenus et sur le patrimoine, cet écart défavorable s’est réduit pour se limiter à environ 15 % pour une rémunération « moyenne » comparée aux systèmes sociaux et fiscaux de nos principaux concurrents.
Voici quelques données intéressantes tirées du rapport d’Eric Besson…
Le modèle économique du football français est moins compétitif que celui de ses principaux concurrents
Il est fragilisé par l’importance relative des droits télévisuels dans ses revenus et son faible dynamisme commercial.
Les droits télévisuels constituent 57 % de l’ensemble des revenus sur la saison 2006-2007.
Lorsqu’un club français participe à une compétition européenne (Ligue des Champions, Coupe de l’UEFA), il reçoit de l’UEFA un montant correspondant à une partie des recettes générées par les droits de retransmission télévisuelle.
Centré sur les rémunérations et opérations sur joueurs, le football professionnel français n’investit pas assez et ne dispose pas de son outil de production : le stade.
Lorsque les droits télévisuels ont été doublés entre 2003-2004 et 2005-2006, passant de 300 M€ à plus de 600 M€, les ressources financières supplémentaires ont principalement servi à augmenter les rémunérations des joueurs. Le football français n’a donc pas profité de cette augmentation pour améliorer sa capacité à dégager des budgets dédiés à l’investissement et financer son avenir.
En 2008, exception faite d’Auxerre et d’Ajaccio, les clubs français ne sont pas propriétaires de leur stade. Pourtant le stade constitue l’« outil de production » naturel du club, contribuant à son image, déterminant sa capacité, en qualité et quantité, à accueillir les spectateurs autant qu’à optimiser sa stratégie commerciale pour diversifier ses revenus et les pérenniser.
En 2008, exception faite d’Auxerre et d’Ajaccio, les clubs français ne sont pas propriétaires de leur stade. Pourtant le stade constitue l’« outil de production » naturel du club, contribuant à son image, déterminant sa capacité, en qualité et quantité, à accueillir les spectateurs autant qu’à optimiser sa stratégie commerciale pour diversifier ses revenus et les pérenniser.
Angleterre, Allemagne, Espagne, Italie : des revenus plus importants, souvent mieux diversifiés et de meilleurs résultats sportifs
Le football professionnel français se positionne à la 5ème place européenne par son budget,
derrière l’Angleterre, l’Allemagne, l’Espagne et l’Italie.
Le football professionnel français se positionne à la 5ème place européenne par son budget,
derrière l’Angleterre, l’Allemagne, l’Espagne et l’Italie.
La comparaison avec les 20 clubs européens les plus riches confirme cet écart : seuls deux clubs français intègrent cette sélection, en seconde partie du tableau.
Simdi bu manzarayi gorunce Turkiye'de ozellikle de Galatasaray SK de ciddi bir calisma gordugunuzu soyleyebiliyormusunuz? Yapilan sadece satip savmak har vurup harman savurmak ve de eldekini avuctakini harcayip kulubu tuketmek; Ben sahsen bunun disinda bir faaliyet goremiyorum dogrusu. Mevcut yonetmelikler ve kuluplerin hala dernekler kanununa tabi olmalari zaten ciddi bir calismanin yapilabilirlilik olasiligini sifira indirmis durumda. Kulupler beceriksiz "idareci" yoneticilerin elinde oyuncak olmus durumda. Kendilerine normal sartlarda asla sahip olamayacaklari bir popularite ve karizma saglayincada olmadik manevralara basvurup koltuklarina siki siki sarilmaktalar. E tabi dernekler kanununa ve kulup "teamullerine" gore "bilincsizce" ibra edildikleri mali kongrelerden de yara almadan ciktiklarina gore elbetteki sorumsuzca kulupleri tuketecek kendilerine ve yandaslarina "bazi" faydalar saglayacaklardir. Bu insanin tabiatinda vardir ve bir yaptirim soz konusu olmadigi surece de bu suregidecek Turk futbolunun islahi mumkun olmayacaktir. Biz hala kendi aramizda internet forumlarinda yazip cizelim kongrelerde ciliz bir takim reaksiyonlar verelim, hic bir sekilde bunun onune gecemeyecegiz. Tek cozum bence yine UEFA'dan gelecektir. Iki yildir Turkiye Futbol Federasyonu'nu para cezalarina carptiran UEFA'dan Kriterlerine uygunluk belgesini kuluplerin popularitesini gozonune alarak vermemezlik edemeyip Avrupa Kupalarina katilmalarini teminen verilen "uygunluk belgelerinin" aslinda ne sebepler ve hangi sartlar altinda verildigini onlar bizden daha iyi bildikleri icin her yil bu cezalari federasyon pasa pasa odemekte. Tabii bunun boyle surup gidemeyecegi de muhakkak. Zaten verilen ultimatom sonucunda da TFF de mecburan: arkadaslar artik 2011-2012 sezonunda benden hayir yok kendinize ceki duzen verin dedi bile. Bu su anlama gelmekte: Ya kriterlere uyacak ya da UEFA sartlarina gore birer ikiser basamaklari (kumelerden) ineceksiniz. Kume dusmus hemde iki/uc kume birden dusmus bir kulup ne kadar populer olursa olsun sponsorlarini, TFF den alinan yayin bedellerini, reklam girdilerini, mac gunu hasilatlarini, eldeki mevcut futbolcu "capital"ini yani kisacasi butun mali imkanlarini kaybedeceginden bugunku idareci tiplerinde kurtulacaklardir. Yazikki akli selim bu gibi durumlarda gecerli olmamakta. Bekleyin gorun......
Tunc Uner
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